Polypodium Leucotomos

L'extrait de leucotomos de Polypodium généralement connus sous le nom de « calaguala. » ou « anapsos vient d'une plante tropicale de fougère (famille Polypodiaceae) cultivée en Amérique du Sud et employés traditionnellement pour de nombreuses indications. Les Américains indigènes ont employé l'extrait d'usine pendant des siècles pour le traitement des désordres et des maladies inflammatoires de la peau.

Récemment, la recherche clinique a prouvé qu'elle a les propriétés antioxydantes et photo protectrice, pris oralement elle assure la protection contre les effets nocifs du rayonnement (UV) ultraviolet du soleil et des autres sources.

Le mécanisme de l'action de PLE est assez complexe mais a été récapitulé dans les points principaux suivants :

Psoriasis
Des extraits des leucotomos de Polypodium (appelés les « anapsos ») ont été utilisés en Europe et Amérique du Sud pour le psoriasis depuis les années 70. La peau 'humaine de mauvaise qualité étudie rapporte que les anapsos peuvent en améliorer l'aspect.

Dermatite Atopique (eczéma)
Le laboratoire et les études des animaux signalent que l'extrait de leucotomos de Polypodium (anapsos) peut réduire l'inflammation. Dommage sur la peau causé par le soleil Les études prouvent que le polypodium peut aider à empêcher le coup de soleil, le vieillissement de la peau, et les cancers de peau résultant de la surexposition non contrôlée au rayonnement UV solaire (UVA et UVB). ( protège l'ADN en empêchant la formation des dimères de pyrimidine de cyclobutane induits par rayonnement d'UVB )
Empêche l'épuisement des cellules de Langerhans Préserve la structure de tissu de peau en empêchant l'infiltration des cellules de mât dans la peau (les cellules de mât libèrent les produits chimiques dans le corps qui causent l'inflammation, la rougeur et démangeaison)

Chemophotoprotecteur
Allégement du vitiligo, du psoriasis, de la dermatite et de la sclérose en plaques.
Posologie : Adulte Pour le psoriasis, une dose de 120 milligrammes d'anapsos par jour Pour le rayonnement UV 7.5mg/kg a été étudié. Eczéma une dose de 120 milligrammes d'anapsos par jour
Peu d'information est disponible au sujet de l'utilisation du polypodium chez les enfants, et la sûreté n'est pas claire.

Effets secondaires interaction :

Les gens avec des allergies aux fougères (famille Polypodiaceae) devraient éviter le polypodium. Rapports isolés de démangeaison sont rapportés, Éviter la conduite et l'utilisation des machines lourdes en raison des effets sédatifs théoriques. Les personnes avec des maladies de coeur ou ceux étant traités pour ce type de désordre devraient faire attention. L'utilisation du polypodium pendant la grossesse ou allaiter n'est pas recommandée, parce qu'il y a peu d'informations sur sa sûreté.
Polypodium peut augmenter la quantité de somnolence causée par quelques drogues. Les exemples incluent des benzodiazépines telles que le lorazepam (Ativan®) ou le diazepam (Valium®), les barbituriques tels que le phénobarbital, les narcotiques tels que la codéine, quelques antidépresseur, et l'alcool. La prudence est conseillée tout en conduisant ou actionnant des machines.
Faire attention si combinant le polypodium avec des médicaments de coeur tels que des beta-blocants, des dresseurs de canal de calcium, ou le digoxin.

Visiter ce lien pour connaître l'effet de cette plante dans le cas de Lupus : ici

Références :
1. Alcaraz MV, Pathak MA, Rius F, Kollias N, Gonzalez S. An extract of Polypodium leucotomos appears to minimize certain photoaging changes in a hairless albino mouse animal model. A pilot study. Photodermatol Photoimmunol Photomed. 1999 Jun-Aug;15(3-4):120-6.
2. Alonso-Lebrero JL, Dominguez-Jimenez C, Tejedor R, Brieva A, Pivel JP. Photoprotective properties of a hydrophilic extract of the fern Polypodium leucotomos on human skin cells. J Photochem Photobiol B. 2003 Apr;70(1):31-7.
3. Alvarez XA, Franco-Maside A, Zas R, Sempere JM, Diaz J, Cacabelos R. Anapsos reverses interleukin-1 beta overexpression and behavioral deficits in nbM-lesioned rats. Methods Find Exp Clin Pharmacol. 1997 Jun;19(5):299-309.
4. Bernd A, Ramirez-Bosca A, Huber H, Diaz Alperi J, Thaci D, Sewell A, Quintanilla Almagro E, Holzmann H. In vitro studies on the immunomodulating effects of polypodium leucotomos extract on human leukocyte fractions. Arzneimittelforschung. 1995 Aug;45(8):901-4.
5. Dea-Ayuela M, Rodero M, Rodriguez-Bueno R, Bolas-Fernandez F, Martinez-Fernandez AR. Modulation by Anapsos (Polypodium leucotomos extract) of the antibody responses against the nematode parasite Trichinella spiralis. Phytother Res. 1999 Nov;13(7):566-70.

Où vous la procurer en Europe, car disponible qu'aux USA ou en Espagne sous le nom de Difur :

Chez ORONALIA : http://www.oronalia.com/index.php?p=catalogue&detail=lst_produits&id=30〈=fr

A fais la preuve d'étude scientifique rapportée par le Natural Standard.com aux USA, Académie Américaine des médecins de famille aux USA.

L'argousier (Hippophaë rhamnoides)

On utilise les baies.

Principaux constituants :

les fruits contient des flavonoïdes,
des flavones, des caroténoïdes, de l'acide ascorbique, des
vitamines A, C, E et de fortes proportions de minéraux
dont le soufre, le sélénium, le zinc et le cuivre. Nécessaires en cas
de lupus.

Les graines contiennent de l'acide alpha-linolénique.

L'argousier accroît la résistance de l'organisme aux infections.
Légèrement astringentes, les baies sont utilisées en
décoction pour traiter les irritations et éruptions cutanées.
Les fruits, les graines, l'huile ont une action bénéfique
dans la guérison des blessures et il peuvent remédier
aux troubles circulatoires, comme dans l'artériosclérose.

A fais la preuve d'étude scientifique rapportée par le Natural Standard.com aux USA, Académie Américaine des médecins de famille aux USA.

ASTRAGALE (Astragalus Membranaceous)

Description

L'astragale est une plante vivace présentant une tige poilue et des feuilles pennées formées de 12 à 18 paires de folioles. Elle atteint une hauteur d'environ 40 cm.

Provenance

Mongolie, Nord de la Chine. A. membranaceus n'est pas très connue en Occident, mais elle est employée depuis des millénaires en Chine. Elle contient de l'asparagine, de la calcyosine, de la formononétine, des astragalosides, de la kumatakénine et des stérols.

• Intensifier la phagocytose des systèmes réticulo-endothéliaux ;

• Stimuler l'activité pituito-adrénale corticale ;
• Agir sur les réponses immunitaires (immunomodulateur) ;
• Reconstituer la formation des globules rouges dans la moelle;
• Tonifier les voies respiratoires infectées (rhume).

Effets thérapeutiques
L'astragale est reconnu pour stimuler la production normale de l'interféron dans le corps. Cette plante stimule également le système immunitaire des personnes présentant des infections. Au moins une étude clinique aux États-Unis a démontré que l'astragale hausse les niveaux des cellules-T tout près de la normale chez quelques patients souffrant de cancer.
Utilisé depuis l'antiquité dans la médecine chinoise traditionnelle, l'astragale est devenu un remède important dans le reste du monde depuis que ses effets sur le système immunitaire ont été reconnus. Ainsi, cette plante est considérée comme un tonique immunitaire profond qui augmente « la qualité de la moelle » et la capacité du corps à produire des cellules immunitaires (telles que les cellules T4), nous protégeant contre des « microbes pathogènes ».
Les polysaccharides présents dans l'astragale, aident principalement à intensifier la phagocytose des systèmes réticuloendothéliaux, à stimuler l'activité pituitoadrénale corticale et à reconstituer la formation des globules rouges dans la moelle. L'astragale est une des plantes reconnues pour sa capacité à stimuler la production normale de l'interféron dans l'organisme. Elle stimule également le système immunitaire des personnes présentant des infections. Au moins une étude clinique américaine a démontré que l'astragale augmente la valeur des niveaux des cellules-T près de la normale chez quelques patients souffrant de cancer.
Utilisée quotidiennement comme tonique, cette plante a la capacité de reconstituer les réserves d'énergie de l'organisme. C'est le remède idéal pour tout individu aux prises avec des problèmes du système immunitaire, incluant les cas de rhume à répétition, les cancers et le VIH. De plus, des études effectuées aux États-Unis, ont permis de suggérer cette plante comme traitement possible pour les patients dont le système immunitaire a été compromis par la chimiothérapie ou le rayonnement.
Des recherches récentes en Chine, indiquent que l'astragale fait office d'antioxydant puissant pour les individus possédant des formes graves de maladies cardiaques en soulageant leurs symptômes et en améliorant leur fonction cardiaque sans interagir avec les médicaments allopatiques.

lien : ici

La DHEA, médiatiquement baptisée ' pilule anti-vieillissement ' ou ' pilule de jouvence ', ajoute une corde à son arc. Elle aurait des effets bénéfiques dans le traitement du lupus. Parallèlement à cette hypothèse, la DHEA vient d'être inscrite dans la Pharmacopée française.

La déhydroépiandrostérone est une hormone stéroïdienne anabolisante que les glandes surrénales des humains produisent naturellement à partir du cholestérol. Dans l'organisme, plus particulièrement dans le cerveau, les surrénales, les ovaires, les testicules, les tissus adipeux, la peau et le sang, on la retrouve sous la forme de sulfate de DHEA (S-DHEA). Elle peut servir à l'organisme de matériau de départ pour la production d'autres hormones telles que l'oestrogène ou la testostérone. Sa fonction spécifique, outre le fait de participer à la production d'autres hormones, n'est pas encore bien comprise.

La DHEA est produite en grande quantité par l'organisme juste avant la puberté. Sa production atteint un sommet dans la vingtaine, après quoi les taux corporels diminuent progressivement. À 60 ans, le corps produit à peine 15 % à 20 % de la DHEA qu'il produisait à 20 ans. Selon certains chercheurs, cette baisse contribuerait à déclencher certaines maladies, ce qui a valu à cette substance d'être qualifiée d'« hormone de jeunesse ».

Il n'existe pas de source alimentaire de DHEA. La croyance qui veut que la diosgénine (qu'on retrouve surtout dans l'igname sauvage, mais également dans d'autres plantes, notamment le soya, le trèfle et le persil) soit un précurseur de la DHEA n'est pas fondée (voir la section Sur les tablettes). Les suppléments de DHEA qu'on trouve aux États-Unis sont le résultat d'une semi-synthèse chimique réalisée en laboratoire à partir de phytoestrogènes provenant de l'igname sauvage ou du soya.

Un certain nombre d'arguments cliniques et expérimentaux laissent à penser que la déhydroépiandrostérone, ou DHEA, pourrait exercer un effet bénéfique dans le lupus érythémateux systémique. Cette affection est une maladie rare, auto-immune, touchant surtout les femmes, évoluant par poussées et touchant différents organes en même temps. Certaines lésions sont typiques, notamment dermatologiques et se traduisent par une rougeur du visage touchant le nez, les pommettes et le front (d'où le nom de lupus ou masque de loup). Il existe également des douleurs articulaires au cours de l'évolution de la maladie.

Pour vérifier cette hypothèse une équipe de chercheurs chinois a mené une étude portant sur 120 patientes atteintes d'une forme active de lupus. Ces dernières ont reçu pendant vingt-quatre semaines soit de la DHEA, soit un placebo.
L'activité de la maladie n'a visiblement pas été influencée de manière significative par le traitement, mais le nombre de poussées et de complications sérieuses s'est révélé moindre chez les malades ayant reçu la DHEA.
L'évaluation globale du lupus effectuée par les patientes elles-mêmes, atteste d'une très nette amélioration.

Il semblerait que la DHEA permettrait de réduire considérablement la prise de corticoïdes.
Ces résultats sont certes préliminaires, mais encourageants et appellent une confirmation par d'autres études.

A noter que chez les personnes souffrant de lupus, le taux de DHEA est anormalement bas !

La DHEA améliore la testotérone et le taux d'oestrogènes ce qui joue une rôle important dans le renforcement du système immunitaire. Dans les troubles de maladie auto-immune comme le lupus, il a été observée que les taux d'oestrogènes chez la femmes etaient anormalement déséquilibré.

la DHEA réduit la productions des cytokines inflammatoires comme les cytokines IL-4, 5 et 6 qui causent les symptômes inflammatoires les plus courants du lupus.

la DHEA  dans la Pharmacopée française

La célèbre DHEA a fait son entrée dans la Pharmacopée française. Cette inscription ne correspond pas à une reconnaissance de son intérêt en thérapeutique, mais décrit officiellement son mode de préparation et surtout de contrôle de qualité et de pureté à l'intention des pharmaciens.

L'Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé (AFSSAPS) précise que la DHEA, ou prastérone obtenue par synthèse, est entrée dans ce recueil sous la forme ' d'additif n°58 ' aux monographies de la Pharmacopée par arrêté du 16 décembre 2002, paru au Journal officiel daté du 11 janvier.

A ce jour, aucune demande d'Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) n'a été demandée dans le cadre de la lutte contre le vieillissement. Ainsi, son utilisation n'est pas justifiée en dehors d'essais thérapeutiques ou de situations cliniques particulières jugées au cas par cas.
Rappelons également que les préparations magistrales réalisées par le pharmacien sont toujours délivrées sur ordonnance.
Aux Etats-Unis, la DHEA a conservé son statut de complément alimentaire.